Les Chroniques de San Francisco, Armistead Maupin (1978-2007)
Je n'ai pas lu l'intégrale de cette série de romans (j'en suis à 4 sur 7...) mais je me devais d'en parler, parce que ce sont de vraies merveilles à lire...
Le premier roman, "Chroniques de San Francisco", a été publié en 1978 aux Etats-Unis, et le dernier, "Michael Tolliver est vivant", en 2007...
Ce sont des romans qui se dévorent à une vitesse... Je prends toujours énormément de plaisir avec ces histoires, ces "chroniques" (elles sont devenues ainsi en français, mais en anglais, ce sont des "tales", des contes...), complètement loufoques, farfelues, drôles souvent, vraiment tristes aussi, ce sont des récits qui m'ont fait sortir de grands fous rires et des sanglots désespérés, on y trouve tous les ingrédients d'un bon livre, il y a du suspens, de l'amour, des enquêtes, bref... On ne pourrait pas résumer tout ce qui s'y passe !
Quatrième de couverture du premier tome: Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au coeur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du "beau volcan". Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour les "chats errants". Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poigné de célibataires: Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de "l'amour interdit" et le beau Brian Hawkins, coureur de jupins insatiable.
Evidemment, on ne peut s'empêcher de penser à Harvey Milk, mort en 1978, à cette image de San Francisco que nous offre Maupin d'une ville d'avant-garde, où tout peut arriver... Je vous encourage donc à vous lancer dans cette saga, dont vous aurez du mal à sortir...
Le premier roman, "Chroniques de San Francisco", a été publié en 1978 aux Etats-Unis, et le dernier, "Michael Tolliver est vivant", en 2007...
Ce sont des romans qui se dévorent à une vitesse... Je prends toujours énormément de plaisir avec ces histoires, ces "chroniques" (elles sont devenues ainsi en français, mais en anglais, ce sont des "tales", des contes...), complètement loufoques, farfelues, drôles souvent, vraiment tristes aussi, ce sont des récits qui m'ont fait sortir de grands fous rires et des sanglots désespérés, on y trouve tous les ingrédients d'un bon livre, il y a du suspens, de l'amour, des enquêtes, bref... On ne pourrait pas résumer tout ce qui s'y passe !
Quatrième de couverture du premier tome: Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au coeur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du "beau volcan". Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour les "chats errants". Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poigné de célibataires: Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de "l'amour interdit" et le beau Brian Hawkins, coureur de jupins insatiable.
Evidemment, on ne peut s'empêcher de penser à Harvey Milk, mort en 1978, à cette image de San Francisco que nous offre Maupin d'une ville d'avant-garde, où tout peut arriver... Je vous encourage donc à vous lancer dans cette saga, dont vous aurez du mal à sortir...